Ma vénus préhistorique
Comme je le disais dans un précédent article (sur les artistes : lespugue et willendorf), j’adooore les représentations féminines préhistoriques. Je suis partie de là pour dessiner ma vénus. J’ai oublié le côté 3D, ne sachant ni émailler sur des surfaces non plates, ni faire des sculptures en cuivre. Mais je me suis amusée avec une technique que j’avais apprise il y a quelques années pour dessiner les corps.
J’ai ensuite découpé une plaque de cuivre grâce à ma magnifique scie bocfil. (Je parlerai dans un prochain article de la scie bocfil et la découpe de cuivre).
Donc voilà où j’en suis aujourd’hui. Les prochaines étapes seront l’insolation, la gravure et l’émaillage. (Si un jour j’arrive à insoler correctement une plaque en cuivre, ce qui n’est pas certain.). Disons que dans 3/4 mois, je l’aurai peut-être fini ! Aux mauvaises langues qui connaissent ma capacité à ne jamais terminer mes projets, je dis « Cette Emilie là est morte mec ».
Pourquoi ya mon nom écrit avant même que je décide de faire un commentaire?
Serait ce une persécution…
De toda manera, cette petite vénus qui vient du diable Lespugue Vauvert trouve une douceur toute contemporaine et se montre si groupée et si rassurante, qu’on se dit qu’elle n’a pas besoin d’insolation, pour se faire souffrir avec les rayons d’un soleil trop vif.